Labo GENRE et Développement de  l’Université Joseph KI-ZERBO : les Crises mondiales, Genre et résiliences des populations au cœur d’un colloque international

Labo GENRE et Développement de l’Université Joseph KI-ZERBO : les Crises mondiales, Genre et résiliences des populations au cœur d’un colloque international

Le Laboratoire ‘’Genre et Développement’’ de l’Université Joseph KI-ZERBO, a réuni les 28 et 29 novembre 2024, la communauté universitaire pour des réflexions sur la relation entre le genre, les crises et les stratégies de résilience développés par les populations. C’était au cours d’un colloque international qui a mobilisé les enseignants- chercheurs, les chercheurs, les doctorants, les étudiants ainsi que les partenaires. Placé sous le thème : « Crises mondiales, Genre et résilience des populations », C’est la Pre Emilie Georgette SANON/OUATTARA, Vice- président en charge de la Professionnalisation, des Relations Université Entreprises (PRUE), qui a présidée l’ouverture des travaux de ce colloque international, ce jeudi 28 novembre 2024.

Quarante-huit (48) heures durant, les participant à ce rendez-vous scientifique, devront  réunir les résultats de la recherche en lien avec le thème afin de contribuer entre autres à  les capitaliser et de les mettre en lumière mais aussi de comprendre les capacités différenciées de sexe à la résilience face aux crises mondiales.

Pour Vice- présidente PRUE, Pre Emilie G. SANON/OUATTARA, représentant le Président de l’UJKZ, le Labo ‘’Genre et Développement’’ est dans son rôle, de proposer des solutions structurelles de nos sociétés. Saluant le comité d’organisation pour la pertinence de ce rendez-vous scientifique, elle espère que les conclusions issues des travaux contribueront à construire des sociétés plus inclusives et résilientes.

Le comité d’organisation, par la voix de sa présidente, Pre Valérie ROUAMBA, a précisé que ce colloque répond à un impératif qui est de recadrer les réponses aux crises perturbant nos sociétés. Ces crises qui, selon elle, rendent plus aigües les vulnérabilités existantes. Elle a également souligné que « le colloque n’est pas seulement un espace académique, il est un acte politique et éthique ». Vue et abordé sur cet angle, il est impératif de construire des savoirs utiles, développer des solutions concrètes pour des sociétés plus inclusives et plus résilientes.

Etant actrice et défenseuse de la question du genre et des crises mondiales, Dre Liliana Soler-Gomez Lutzelschwab, Co- patronne du colloque a souligné que «  c’est la somme des résultats de la recherche, c’est le partage d’expériences vécues qui contribueront à proposer des solutions de résilience et inclusives face à ces crises et leur lot de conséquences ».

Les travaux de ce colloque se sont déroulés en ligne et en présentielle autour de cinq (5) axes. Il s’agit des approches conceptuelles et épistémologique des crises ; les mouvements féministes et construction de la paix ; la prise en charge des survivant.e.s de violences basées sur le genre (VBG) ; le Nexus Humanitaire, Développement et Paix- Un schéma à questionner ainsi que la crise comme opportunité de construction d’une Afrocacité.

Ce rendez-vous scientifique a réuni des participants venant de la Suisse, du Sénégal, du Bénin, de la Colombie- Belgique, du Niger, de la République Démocratique du Congo et du Burkina Faso.

Com.UJKZ

 

 

 

 

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